Coucou,
Voici ma toute première nouvelle (écrite en cour de math donc, je promets rien)
Je m'excuse pour les fautes d’orthographe, elle est moi on est comme chien et chat!
Rencontre mystérieuse.
La jeune fille marchait d'un pas pressé. Le chemin qu'elle empruntait cinq fois par semaine lui était devenue familier. L'air était frais en ce mois d'octobre. Son I-pod poussait au maximum de son son, diffusait une musique aux accords rock. Elle ignorait ainsi l'impression de solitude qu'elle éprouvait chaque soir en rentrant de son lycée de banlieue. Le soleil continuait sa route, toujours plus rapide, elle pressa le pas, encore.
Elle ne vit pas la personne en face et ne pus pas l'éviter. Ils rentrèrent en collision. Éberlué, elle recula d'un pas et riva ses yeux d'un chocolat profond sur le sol. Allant à l'encontre de sa petite voix dans son cerveau qui lui soufflait de s'excuser et de rentrer chez elle, elle détailla la personne face à elle.
Elle recula, lentement, et mit de la distance entre elle et cette personne. Elle n'aperçut en premier que des chaussures. Belle, luxueuse, en cuire et brillante. Instinctivement, elle comprit que leurs propriétaires devait avoir un certaine âge et avoir une fortune assez conséquente. Remontant les yeux un peu plus, elle vît un pantalon de costume noir puis une chemise blanche. Tous chez cette homme lui révélait qu'il était d'un autre monde que le sien. Elle sentit ses joues s’empourprer. Elle bredouilla un "Excusez-moi" à peine audible.
Elle s’apprêtait à reprendre la route quand elle commît l'erreur qui lui interdisait de revenir en arrière. Elle leva les yeux, et elle vît le visage de cette homme. La première chose qui la frappa fût son jeune âge. Il devait avoir à peine plus de dix-huit ans. La seconde fût qu'elle s'était trompé. Il était plus jeune que son estimation. Et enfin, s'était ses yeux. D'un bleu si profond, si magnifique. Les prunelles venaient se plonger dans les siennes. et elle fût incapable d'esquisser un simple ou même de souffler un mot. Le jeune garçon se détourna .
Un fois qu'elle ne fût plus sous l'emprise de cette mer flamboyante, elle reprit son chemin. En marchant tout d'abord puis en courant. Elle passa la pire nuit de toute sa vie, chaque fois qu'elle fermait les yeux, ceux du si mystérieux jeune homme lui revenait à l'esprit.
Après cette rencontre, elle ne le vit plus pendant une très longue semaine. Son absence lui arrachait le cœur. Elle n'avait plus goût à rien, son esprit divaguait de trop. Elle ne pensait qu'à lui.
Un soir, elle le revit.Sans comprendre pourquoi sa journée ne lui parut plus aussi morne et triste. Elle avança vers lui. Une fois à ses côtés, ils se parlèrent. De tout et de rien, mais ils parlaient.
Ces rendez-vous durèrent quelques semaines. Un soir elle le vit accoudé à se même arbre, un sourire étirait ses lèvres. Dans sa main droite une rose rouge flamboyaient sur son costume noir. Elle s'approcha de lui et il fit quelques pas. Il tendit sa main droite et lui offrit la rose. Elle sentit ses rouges prendre la couleur de la fleur. Ils n’étaient plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. Soudain il réduit cet espace à néant. Il approcha ses lèvres de celle de la demoiselle. Le baiser ne dura qu'une poignée de seconde mais ce fût le plus beau que la jeune fille n'est jamais reçu.
Il plongea ses yeux dans ceux de la fille. De sa voix de velours, il lui dit: "Je t'aime".
Elle murmura sa déclaration d'une voix à peine audible.
Ils étaient tous les d'eux, plongés dans les yeux de l'autre. Ils étaient perdus dans leur éternité. La Terre aurait plus cesser de tournée qu'ils ne s'en seraient pas aperçu. Seul eux deux comptés.
Parce que c'est en cela que l'amour réside. La faculté de ne plus rien voir, de ne plus rien sentir, si ce n'est l'autre. L'amour qui nous transporte sur une île déserte où seul l'être cher n'a d'importance. L'amour est la force de nous faire oublier que tous va mal pendant un instant magique.
Fin